GÉNÉRIQUE
Film de fiction, 16 mm, couleur, année 1990, 15 minutes. Scénario, réalisation et montage visuel: Paul Picard. Direction photo et caméra: Jean Pelletier. Conception sonore: Nancy Gendron. Conception musicale: Pierre Séguin, Guy Tremblay, Jacques Gamelin et Luc Cabana. Interprétation: Mimi d’Estée et Guy Provencher. Produit avec l’aide financière: Gouvernement du Québec, Gouvernement du Canada et l’Aide artisanale de l’Université du Québec à Montréal.
Lecture détaillée du générique de ce film.
CONTENU
Ce film est la mise en relation d’une vieille dame vivant pleinement sa retraite et d’un vieil homme qui éprouve des difficultés à voir l’intérêt de son existence. Celle-ci, par le dynamisme de ses propos et de ses activités, saura redonner espoir à ce dernier.
Traité avec un certain humour, le scénario est donc une petite histoire qui divertit, qui amuse, mais qui au fond sensibilise le spectateur à un problème social très actuel, le vieillissement. Abordant les inquiétudes de ce vieillissement, la solitude, la réorganisation des occupations après la retraite, le travail et les loisirs, ET SI C’ÉTAIT TOUJOURS DIMANCHE se veut un regard de tendresse et d’encouragement envers ceux qui vivent ou auront à vivre cette période de la vie. Le film se veut également un encouragement à l’activité physique chez les personnes âgées et de leur faire prendre conscience que cette période de la vie n’est pas une période morte, mais qu’avec une bonne prise en main, cette période peut en devenir une d’épanouissement.
ARTICLE DE PRESSE SUR CE FILM
Une période pleine de rebondissements, la retraite et même l’âge avancé? Eh oui, dans la mesure où l’on vit dans le présent, où l’on n’arrête pas de faire des projets. Un court métrage au joli titre, ET SI C’ÉTAIT TOUJOURS DIMANCHE, nous le raconte avec l’aide d’une Mimi d’Estée toujours alerte, capable d’en remontrer à un retraité (Guy Provencher) plutôt enclin à ressasser ses vieux souvenirs. Si vous faites partie d’une association, pourquoi ne pas demander qu’on vous projette ces 15 minutes réjouissantes qui pourraient bien profiter à tous? Joyeux cinéma, dans Magazine LE BEL ÂGE, octobre 1990.
PHOTOGRAPHIES DU TOURNAGE
DISTRIBUTION DU FILM
Sélectionné et projeté aux RENDEZ-VOUS DU CINÉMA QUÉBÉCOIS à Montréal en février 1991, le film fut principalement distribué par CINÉMA LIBRE dans les réseaux de l’Éducation et des Affaires sociales. Le film était particulièrement apprécié auprès des animateurs dans les C.L.S.C. où il était utilisé comme outil de discussion lors de rencontres sur le vieillissement. DISTRIBUTION ACTIVE TERMINÉE.